Le Réveil - 4 mai 2011
La Dépêche - 7 mai 2010
République du Centre– 17 septembre 2008
République du Centre– 23 septembre 2008
Entretien autour du Festival "L'Eure Poétique et Musicale" du 17 au 26 avril 2009 - Resmusica
La Dépêche - 24 avril 2009
“Le coup d’envoi du festival sera
véritablement donné le dernier week-end d’avril,
avec trois concerts exceptionnels, et à chaque fois une
tête d’affiche : Marcel Azzola à Breteuil,
Michael Lonsdale à Verneuil, et Gérard Gasparian
à Tillières”.
Le Réveil Normand - 16
avril 2008
“Sa conception d’un jeu énergique
et rapide convient à la Sonate « la Tempête
» de Beethoven qui gagne ainsi en urgence et en intensité,
mais elle correspond également à merveille à
l’écriture quasi symphonique de Schumann (Novelette
n°8 op. 21) et de Scriabine (Sonate n°5 op. 53), œuvres
dans lesquelles Gérard Gasparian excelle, dominant totalement
le clavier dont il tire des sonorités à la fois
puissantes et précises.”
ResMusica - mai 2008
« Triomphe pour les grands romantiques »
… Sa vision de Chopin est à mi-chemin entre celle
de Samson François et de Claude Kahn.
Jean Claude Louvat, La Dépêche –
30 avril 2008
« Il a abordé la Sonate op.101 de
Beethoven, si chargée d'émotion, avec une puissance
expressive, une détermination farouche et une maîtrise
énergique.
Plein de verve, sonnant étonnamment « jazzy »,
Gasparian a martelé le deuxième mouvement qui ressemblait
ainsi à une marche.
Très emphatique, comme dans une ivresse passionnée,
bouleversant, puissant dans la décharge des émotions,
le pianiste a maîtrisé la Fantaisie op.17, audacieuse,
de Schumann qui ressemblait à un « cri d'amour »
unique pour sa Clara Wieck adorée.
Gasparian s'abandonnait à l'explosion houleuse des sentiments,
à l'abîme et au labyrinthe de cette Fantaisie tout
en en déployant parfaitement sa poésie.
Comme déchaîné, Gasparian a interprété
également sa propre Sonate, expressive, qui, avec des passages
martelés et une sonorité extatique, a éveillé
l'attention. »
Roswitha Frey, Badische Zeitung - Juillet
2005
« En première partie de son concert,
salle Cortot, et pour le plaisir de son public, Gérard
Gasparian fit valoir sa technique irréprochable au service
des Préludes du deuxième Cahier de Debussy dont
il fit ressortir la couleur et le dessin toujours net. Son jeu
à l'émotion contenue mais toujours à fleur
des notes mit en évidence la fluidité des évocations
sonores du compositeur en même temps qu'il nous en restituait
l'audace harmonique.
En seconde partie, Gérard Gasparian nous proposa l'ultime
Sonate de Beethoven, la Sonate n° 32 op. 111. Le plaisir fut
total, l'émotion perceptible, tant Gasparian fit ressortir
la richesse des coloris de cette œuvre dont l'Arietta finale est
une des créations les plus sublimes du génie de
Beethoven.
Pour terminer ce concert, Gérard Gasparian fit découvrir
à son public un compositeur – Komitas – certes moins illustre
que Debussy et Beethoven, mais qu'il servit tout aussi bien dans
ses 4 Danses et 6 Chants, en faisant ressortir comme une évidence
le lien profond qui unit un peuple à ses racines musicales.
»
Patrick Guyhart, Les Nouvelles d'Arménie
- Avril 2005
« Gérard Gasparian débuta
son programme avec 3 sonates de Scarlatti, qu'il égrena
comme des perles, de manière limpide, avec un son au toucher
dense et clair. »
« Les Impromptus op.90 de Schubert ont été
abordés avec puissance et un lyrisme expressif, et, pour
partie, avec une expressivité mélodique effrénée
et rapide, qui plongea l'auditeur dans les profondeurs du romantisme,
apportant enthousiasme et passion, teintée néanmoins
de couleurs impressionnistes, par moments. »
« Les quatre Impromptus de Chopin, quant à
eux, ont séduit par leur style élégant et
brillant, et par leur charme doux et mélodique. »
« Le summum, pour tous les amateurs de piano, fut atteint
par les préludes du premier cahier de Debussy. Gérard
Gasparian y exprima avec savoir-faire la magie raffinée
des sons. Sensibilité et poésie y étaient
présentes en permanence, que ce soit dans les Danseuses,
dans Voiles, ou encore dans l'atmosphère baudelairienne
des Sons et les parfums…»
Institut
für bildnerisches Denken - Badische Zeitung -
Août 2004
« Gérard Gasparian y a sacrifié,
comme il se doit, au rite du romantisme. La belle musique du XIX°
siècle, signée Schubert et de Chopin (les Impromptus
de l'un et l'autre) avait trouvé ainsi un cadre à
sa mesure, tout comme celle de Debussy (12 Préludes
du premier cahier), plus impressionniste que romantique quant
à lui. Plusieurs de ses élèves étaient
présents à ce brillant récital hier, à
la Frette, mêlant leurs bravos aux ovations du public. »
Festival
Berlioz - Le Dauphiné libéré -
Août 2004
« Récital de Gérard
Gasparian au piano et Roland Daugareil au violon, qui interprétèrent
les sonates de Brahms, Beethoven et Ravel... Concert magnifique
par la qualité des exécutions que nous proposèrent
ces deux musiciens au faîte de leurs moyens techniques et
musicaux et qui enthousiasmèrent l'assemblée. »
Festival du Val d'Aulnay, à Châtenay-Malabry
- Juin 2000
« Son jeu pianistique n'est pas un
accompagnement effacé, mais une participation active. Constamment
présent, mais jamais indiscret, il sait préserver
l'unité du duo sans jamais le déséquilibrer.
Ces qualités firent merveille dans la romantique sonate
en fa mineur de Brahms, tour à tour passionnée,
rêveuse, gaie et brillante.
« Dans les Papillons de Schumann, s'appuyant
sur une technique très sûre, il sut mettre en valeur
les aspects contrastés - extrémistes même
- de cette œuvre à l'humeur constamment changeante,
d'une abondance mélodique inépuisable. »
Festival d'Albret - Sud-Ouest - Avril 2000
« Les Préludes et Fugues
de Bach ont été donnés avec application avec
une main gauche magistrale et une main droite sensible, à
tel point que nous pensions à l'orgue. Les Six Préludes
de Debussy ont été très bien interprétés,
le pianiste mettant sa technique en évidence. Les cinq
Sarcasmes opus 17 de Prokofiev ont été bien
rendus. Cette œuvre a été jouée remarquablement,
avec vigueur et force. »
Le Midi libre
« Salle Cortot, Gérard Gasparian
joua au piano trois de ses compositions. Le succès spontané
et enthousiaste dénota l'intérêt du public.
Nous souhaitons le connaître davantage. L'interprète
et le compositeur nous ont énormément plu. »
Musique et concerts
« En invitant Gérard Gasparian,
pianiste, et Jean Ter-Merguerian, violoniste, l'Office de la Culture
nous a offert une soirée hors du commun par la qualité
des artistes qui ont su avec brio servir les œuvres de Mozart,
Bach, Debussy, Sarasate, interprétant par ailleurs une
sonate pour violon et piano signée G. Gasparian... Ils
ont séduit un public de connaisseurs et nous ont offert
une soirée de très grande qualité. »
Nice-Matin - Mai 1994